Émilie, passionnée de danse folk

Nohô

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On Friday 30 May 2025 at 14:22

Depuis ses 18 ans, Émilie vibre au rythme de la danse folk. Originaire de Savoie, installée aujourd’hui en Lorraine près de Nancy, cette passionnée nous partage son parcours, ses découvertes et les valeurs d’une pratique conviviale et accessible à tous. (tu peux également retrouver sur Le Mag Nohô une interview d’un hôte passionné par la moto qui a des rêves de Dakar,  une interview d’une hôte passionnée par la voile avec pour objectif une mini transat ou un passionnée des arts aériens directement sur notre blog). Nous lui avons posé des questions pour mieux comprendre son parcours et ce qui la motive à toujours aller plus loin.

Peux tu te présenter ?

Je suis Émilie, j’ai 44 ans, je vis en Lorraine près de Nancy, et je suis maman de deux ados de 14 et 16 ans… et d’un vieux chien !

Peux-tu nous en dire plus sur la danse folk ?

La danse folk, ce sont plein de danses traditionnelles qui viennent de différentes régions de France, et même d’autres pays. Beaucoup de gens la connaissent comme les danses bretonnes, où l’on se tient par les petits doigts, mais c’est bien plus varié que ça.

À l’origine, ce sont des danses populaires, celles que nos ancêtres pratiquaient. Aujourd’hui, elles sont remises au goût du jour : plus de costumes traditionnels, on danse en tenue légère parce qu’on bouge beaucoup… et on a vite chaud !
L’ambiance est géniale : tous les âges sont représentés, des ados aux personnes âgées. Ce mélange est ce que j’adore dans le folk : on rencontre des gens très différents, et ça crée une vraie richesse.

As-tu fait de la danse ton métier ?

Pas du tout ! C’est une passion à 100 %. J’y vais au moins tous les samedis soirs pour danser, parfois plusieurs fois dans la semaine.
J’ai découvert ça à 18 ans, donc ça fait un bon paquet d’années maintenant !

Comment t’est venue l’idée de tester ce style de danse ?

Quand j’avais 18 ans, avec ma mère, on cherchait une activité à faire ensemble. On est allées à un forum des associations et on est tombées sur un stand de danses folkloriques en costume. On a essayé, on a beaucoup aimé.
Un peu plus tard, on a même participé à un échange en Angleterre avec un autre groupe folklorique. C’était une expérience géniale ! Les danses où l’on change de partenaire, où tout le monde est un peu perdu… c’était très drôle et très humain.

Puis un jour, j’ai vu une affiche qui parlait de “danse folk”. Je me suis dit que ça devait ressembler à ce qu’on faisait. J’y suis allée… et je ne suis jamais repartie !
C’est un univers qu’on ne connaît pas forcément, un peu caché : il faut connaître quelqu’un, ou tomber sur la bonne info au bon moment. Il existe un vrai réseau autour de la danse folk, mais il faut un peu de curiosité pour le découvrir.

Tu pratiques dans un club ?

Pas vraiment. Ce sont des bals, animés par des musiciens en live. Au début, j’ai commencé avec des ateliers, mais en Savoie il n’y avait pas beaucoup d’événements : un bal par mois, un atelier tous les trois mois… donc c’était dur de progresser.
Quand je suis arrivée en Lorraine, j’ai découvert qu’il y avait beaucoup plus de possibilités : des ateliers tous les soirs, des bals le week-end… c’était le paradis ! J’en ai énormément profité à ce moment-là, et j’ai vraiment progressé.
Aujourd’hui, après plus de 20 ans de pratique, je ne fais plus les ateliers. J’apprends les nouvelles danses “sur le tas” quand elles arrivent.

Est-ce que tu pratiques d’autres styles de danse en parallèle ?

J’ai essayé les danses de salon, mais je trouve ça trop répétitif. Il n’y a que quelques figures qui changent, ce n’est pas assez varié pour moi.
Avec mon copain, on a testé la salsa. J’ai les pas de base, mais là aussi, je trouve ça moins intéressant que le folk. Dans le folk, on fait des danses en couple, en chaîne, en solo… il y a une vraie diversité qui me plaît.

Tu as publié une annonce sur Nohô, pour quel public ?

Pour tout le monde ! C’est ça qui est magique dans la danse folk : il y a des gens de tous âges, de tous horizons.
Il suffit juste d’avoir envie de bouger ses pieds (rires) !
L’ambiance est très bienveillante. Même si on n’a jamais dansé, on est très vite intégré. Les gens t’accompagnent, t’expliquent les pas, et tout se fait dans la bonne humeur.
C’est très accueillant et chaleureux.

Un petit conseil pour les débutants ?

Oui : habillez-vous léger ! On bouge beaucoup, donc on a vite chaud. Moi je suis toujours en jupe, mon copain en short. Et surtout, pensez à prendre une bouteille d’eau ! C’est plus physique qu’on ne le croit (sourire).

A retenir

La danse folk, c’est plus qu’une activité : c’est un univers joyeux, chaleureux et intergénérationnel. Grâce à Émilie, on découvre une pratique où le plaisir de danser se mêle à la convivialité, où l’on vient comme on est, et où chacun trouve sa place.
Alors si vous avez envie de tester, n’hésitez plus : “Il suffit juste de vouloir bouger ses pieds” !

Un grand merci à elle qui s’est prêtée au jeu de cette petite interview !
Si toi aussi tu souhaites rejoindre Nohô pour montrer ton univers que cela soit un métier, un sport ou une passion, tu es le bienvenu. L’inscription et la création d’annonce sont gratuites !
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