Moi c’est Charles-Ambroise. J’ai fait mes études dans la création digitale. J’ai touché à pas mal de domaines : le graphisme, la photo, la vidéo… Mais ce qui m’a le plus accroché, c’est la vidéo. C’est vraiment là que je me sens à ma place, c’est ce que j’aime faire avant tout.

À la fin de mes études, je savais que je voulais vivre de la vidéo. J’ai donc choisi de me lancer en tant qu’autoentrepreneur, pour travailler à mon compte et construire mon propre univers.

Pas vraiment, non. Je faisais un peu de photo, mais la vidéo est venue plus tard.
C’est pendant mes études, en école de création digitale, que j’ai commencé à m’y intéresser sérieusement. J’étais chef de projet digital au départ, donc pas directement dans la création. Mais en travaillant avec des personnes qui réalisaient leurs propres vidéos, ça m’a donné envie d’essayer. Et j’ai rapidement accroché.

Ce qui me plaît, c’est de raconter des histoires avec des images. J’ai déjà tourné pas mal de contenus pour des entreprises, et ce que j’aime dans ce type de projet, c’est de comprendre leur message, leur univers, et de le retranscrire en vidéo de manière claire et esthétique.
Je porte aussi beaucoup d’attention à la préproduction : bien préparer le tournage, poser les bonnes questions, réfléchir au ton et au rythme…
Et puis il y a l’étalonnage des images, la colorimétrie, qui est une forme d’expression artistique à part entière. C’est un vrai plaisir de jouer avec les ambiances et les teintes pour sublimer les plans.

Je dirais la demi-finale et la finale du Top 14. J’étais alors en alternance, et on devait créer du contenu vidéo pour l’événement. L’ambiance était incroyable, on a pu interviewer des athlètes, être au cœur de l’action… C’était un moment très fort.

Ce qu’on retient de notre échange avec Charles-Ambroise, c’est sa capacité à écouter, à s’imprégner de l’univers de chacun pour en tirer une narration fluide et sincère.
Derrière la technique, il y a chez lui une vraie envie de mettre en lumière les histoires des autres. Et ça, c’est exactement ce qu’on aime chez Nohô.
Merci Charles-Ambroise pour cette rencontre inspirante !